Aller au contenu

Ellen et ses amants – Fabrice – Partie 2

Ils se rapprochent puis … et puis rien. Il fait froid . Ellen tremble et ce n’est pas la situation la plus sensuelle ni la plus érotique pour introduire une activité sexuelle imaginative et intense. Fabrice tente de la réchauffer par des frictions vigoureuses (avant d’avoir fermé la fenêtre bien sûr). Mais rien n’y fait.

 

Ellen, d’une lueur de malice dit : « Et si nous prenions un bain ? » Fabrice acquiesce.

 

« Je mérite bien un petit cadeau pour cette si brillante idée non? » Fabrice comprend et lui indique l’emplacement de l’enveloppe qu’il lui avait laissé.

 

« Vas-y en premier Fabrice je te rejoins tout de suite », elle en profite pour compter l’argent. Tout y est.

 

La baignoire est spacieuse. La chambre correcte sans vis-à-vis, la salle de bain large, les draps de bonne qualité et propres, tout le nécessaire afin que deux amants passent un bon moment .

 

Chacun se déshabille. Le jeu implicite est de se déshabiller le plus vite possible : le premier savoure le « strip tease amateur » de l’autre. Ce moment leur permet de s’observer plus en détail :

 

Fabrice est blond. Un visage carré, des yeux verts-gris, un nez droit, des lèvres pleines et un menton puissant. Il est de taille moyenne, trapus, un torse puissant recouvert d’un duvet blanc, des épaules et des bras musclés, un ancien joueur de rugby sans doute. Et un sexe de taille somme toute très honorable.

 

Ellen elle, est grande pour une femme, mince pour une femme. Brune aux cheveux long. Un visage tout en longueur, des yeux noir en amande, un nez un peu fort et légèrement arrondi, des lèvres sensuelles. Longiligne des bras et des jambes. Des seins petits, si petits qu’ils en sont attendrissants.

 

Les deux s’observent un moment. Nus. Le désir est fort.

 

Le bain est à la parfaite température, Ellen a toujours sur elle quelques huiles essentielles, et nos deux amants plongent dans cette eau chaude et aux effluves délicates.

 

Fabrice a essayé de se placer en face d’Ellen, mais c’est inconfortable. Le choix a été qu’elle place son dos sur son torse. Ses fesses sur son entre-jambes. Une position beaucoup plus confortable.

 

Bien installés, à moitié assoupis par la chaleur, ils sont ivres de plénitude. Les mains de Fabrice frôlent doucement le corps d’Ellen avant de s’attacher sur ses petits seins si insolents. Ses mains descendent progressivement vers son intimité. Ellen n’est pas en reste. De sa main droite, elle descend dans son entre-cuisses puis, va plus loin et rejoint les testicules de son amant. Un petit exercice « boulier » s’impose. Chacun aime la prise d’initiative de l’autre. Aucune parole n’est prononcée. Inutile.

 

Cet instant sensuel dans le bain semble s’être suspendu, un moment rien qu’à eux, où ils se découvrent, se caressent, se baisent. Mais cette bulle de félicité finit par craquer, ils en veulent plus.

 

« Je n’en peux plus, dit Fabrice, mets-toi sur ce bord et assis toi »

 

Ellen s’empresse d’obéir, et Fabrice s’empresse de la faire jouir. Il plonge sa tête et sa langue vers l’orifice sacré. Ellen, la chaleur du bain aidant, est parfaitement détendue. Et cette détente ne fait qu’accentuer la montée de son désir. Ces coups de langue répétés, d’une langue douce et satinée, l’emmènent dans des territoires insoupçonnés. Elle gémit de plus en plus fort. Chaque petit coup de langue amène son frisson délectable, son petit choc électrique. Et à chaque coup de langue ce choc se fait plus puissant. Un liquide presque transparent jaillit de ce mont de Vénus et cela ne déplait pas à Fabrice, il se délecte de cette cyprine sucrée comme un nectar. Mais pour Ellen, c’était trop et trop rapide. Elle replie ces cuisses et d’un sourire taquin lui dit « à ton tour ».

 

Inutile de le lui dire deux fois. Une fois assis sur la rambarde et elle à genoux dans la baignoire, elle commence par saisir son membre avec délicatesse. Il est déjà bien dur. Elle s’approche de son gland et commence par de petits coups de langue qui l’effleurent à peine. Elle joue avec lui et lui le savait mais ne dit rien. Elle continue à picorer ce tendre sucre d’orge fait de chair puis… d’un coup, l’avale de tout son long. Entièrement. Fabrice ne l’avait pas vu venir. « Elle cache bien son jeu la coquine » pensa-t-il.

 

Ellen avale, avale et ce jusqu’à la garde. Elle va si loin que sa langue lèche ses testicules. Un plaisir extrême qu’il n’avait jamais connu. Jamais sa verge n’avait été « absorbée » complètement, et pourtant il n’est pas le plus mal « outillé », et en bonus elle lui lèche lentement mais avec grâce ses gonades. L’envie de jouir est très puissante à ce moment précis. Ellen le regarde d’un air facétieux, elle sait que ce n’est que le début, qu’il ne va pas écourter la séance de plaisir attendue depuis si longtemps. Avant de succomber, Fabrice se retire (à temps). Ils sortent de la salle de bain . Ellen frissonne de tous ses membres, elle se jette sous la couette sans demander son reste. Fabrice, plus résistant au froid et donc plus réfléchi à ce moment précis, se dirige vers le climatiseur pour augmenter la température. Il s’empresse lui aussi de rejoindre Ellen et les caresses intimes redoublent de plus belles…

Partager